au théâtre Rutebeuf
16, allée Léon Gambetta – Clichy-la-Garenne – M° Mairie de Clichy (ligne 13)
Organisé par les associations
Répondre à Gauche et Démocratie 2012
au théâtre Rutebeuf
16, allée Léon Gambetta – Clichy-la-Garenne – M° Mairie de Clichy (ligne 13)
Organisé par les associations
Répondre à Gauche et Démocratie 2012
Lancées à Paris par Dominique Bertinotti, les cérémonies de la citoyenneté sont une bonne idée. La mairie du 17e a décidé d’en organiser une ce soir, et on peut s’en réjouir.
Il n’y a qu’un seul hic : la Maire du 17e n’a pas daigné inviter les élus d’opposition du 17e… Bel exemple d’acte citoyen et démocratique sans doute !
Néanmoins, certains d’entre nous s’y rendront quand même, et tant pis, pour l’invitation…
Hausse du coût de la vie et des loyers oblige, le logement est devenu le premier poste de dépense des Parisiens.
Jean-Yves Mano, adjoint chargé du logement et de l’habitat, aborde pour Paris.fr quelques-uns de ces enjeux. Avec en point d’orgue, une proposition novatrice : que la ville conserve la propriété de terrains publics et que les futurs accédants à la propriété en achètent uniquement les murs.
REGULER LES HAUSSES DES LOYERS
« Je suis pour un encadrement des loyers à la relocation »
Les Parisiens se plaignent de la hausse des loyers. Bertrand Delanoë a récemment proposé de les encadrer. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Le prix couramment pratiqué pour la location des chambres de bonne à Paris est de 40 ou 45€ le m², face au prix dans le logement social allant de 6€ à 12€ le m²… Est-ce que c’est normal ?
Pour moi, face à ces dérives scandaleuses du marché de l’immobilier, il n’y a qu’une chose à faire : c’est d’encadrer les modalités de fixation des loyers de telle manière qu’ils ne dépassent pas des prix de 25 € le m² pour les petites surfaces et de 18 € à 22 € pour les appartements familiaux. Ce qui correspond aujourd’hui à la moyenne des loyers parisiens selon les quartiers
Mais où en est-on ? Pourquoi ne parvenez-vous pas à mettre en application votre proposition ?
La ville de Paris n’a pas le pouvoir de prendre des mesures en matière de maîtrise de loyers, c’est du domaine de la loi ou du décret. A ce sujet, Bertrand Delanoë a écrit au 1er ministre qui nous a clairement répondu : « Circulez il n’y a rien à voir !»
Lire la suite de ‘Entretien avec Jean-Yves Mano : des idées concrètes pour le logement’
La diversité sociale est au cœur de l’identité et de l’histoire de Paris. Aujourd’hui, l’évolution des prix du marché privé menace cette mixité. Les loyers du secteur privé flambent (en 10 ans, les loyers des logements privés ont augmenté de 50% à la relocation), entraînant une augmentation du nombre des demandeurs de logement social qui n’a jamais été aussi important à Paris (120 000). Le logement social est ainsi devenu la seule catégorie de logement accessible financièrement aux Parisiens modestes et également désormais à une grande partie de la classe moyenne.
L’urgence de la situation impose donc une action publique immédiate et massive. A ce titre, l’engagement de la Ville de Paris est très conséquent, notamment en matière de logement social : de 2001 à 2010, le taux de logement sociaux est passé de 13 à 17% et devrait atteindre 20% dès 2014, ce qui correspond à 70 000 logements sociaux supplémentaires entre 2001 et 2014.
Aujourd’hui, il n’existe aucun dispositif qui permette d’encadrer les loyers des logements reloués suite à un changement de locataire, ou faisant l’objet d’une première location. L’Etat —responsable de par la loi des politiques du logement— doit prendre sa part et assumer son rôle de garant de la solidarité nationale en intervenant tant sur le logement social que sur le parc privé.
A cette fin, nous soussignés demandons que le Parlement décide l’encadrement des loyers à Paris et dans les communes de la métropole parisienne où l’évolution des loyers le justifie.
http://petition.logement.free.fr/
Condamnés par le Tribunal Administratif, les présidents des caisses des 6e, 8e, 15e, 16e et 17e ne respectent toujours pas la loi.
Le Tribunal Administratif a validé le 16 décembre 2010 la légalité de la réforme de la tarification des cantines scolaires. Il a également annulé la décision des 5 maires d’arrondissement UMP concernés de ne pas appliquer la délibération du Conseil de Paris des 10 et 11 mai instaurant la nouvelle grille tarifaire unique, et leur a enjoint de mettre en œuvre cette décision dans un délai de deux mois.
La délibération du Conseil ayant été validée, son application s’impose à tous. Les nouveaux tarifs sont donc pleinement applicables depuis le 1er septembre 2010.
Or, les 5 maires d’arrondissement UMP qui s’étaient déjà mis hors la loi en décidant unilatéralement de ne pas appliquer cette délibération jusqu’à la décision du Tribunal Administratif, continuent à faire obstruction à cette réforme. Plus de trois mois après le jugement du Tribunal Administratif, force est de constater qu’il n’est pas appliqué : non remboursement des familles ayant demandé que soit recalculées leurs factures depuis le 1er septembre, application de la nouvelle grille différée, selon les arrondissements, au 1er janvier ou au 1er mars ou encore à la rentrée prochaine, informations relatives au jugement du tribunal volontairement erronées diffusées aux familles…
En violant délibérément le droit et, pire, en refusant ouvertement d’appliquer les jugements d’un tribunal qu’ils ont eux-mêmes saisi, les maires d’arrondissement UMP concernés s’affranchissent du premier des devoirs des élus dans notre République : le respect de la loi.
Leur obstination pèse chaque jour sur les familles aux revenus moyens ou bas. La Ville de Paris ne peut laisser perdurer une telle situation. Les familles de ces arrondissements doivent bénéficier pleinement des nouveaux tarifs qui leur sont applicables depuis le 1er septembre 2010 sans aucun délai. C’est pourquoi la Ville de Paris saisit à nouveau le juge administratif afin que les caisses en infraction appliquent, sous astreinte, pleinement la décision du tribunal.
La galerie L’Oeil du Prince a le plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition « POLART » par François Darmigny et Deborah Sportes
Vernissage
le lundi 4 avril de 19h à 22h
Exposition du lundi 4 au vendredi 8 avril
« Cette exposition est née de l’imagination et du travail de deux artistes de talent : le photographe François Darmigny et l’artiste peintre Deborah Sportes.
A partir d’un choix de Polaroids réalisés par François, Deborah a apporté sa touche contemporaine, trendy et Urban Street en créant de véritables toiles photographiques. » VSD.fr, 15 mars 2011
Galerie L’Oeil du Prince
30 rue Cardinet
75017 Paris
Métro Wagram ou Monceau
01.42.26.50.49
info@loeilduprince.com
www.loeilduprince.com
du lundi au samedi de 11H à 19H30
et souvent le dimanche à partir de 15H00
La 6ème édition du Forum de la Diversité et du Premier Emploi, organisé par la Ville de Paris en collaboration avec l’association Carrefour pour l’Emploi, aura lieu le jeudi 31 mars de 9h à 18h à la Cité des Sciences et de l’Industrie.
Ce forum permet de recruter directement les jeunes franciliens de 18 à 30 ans dans toute leur diversité, notamment ceux susceptibles d’être victimes de discrimination lors de leur recherche d’emploi du fait de leur implantation géographique dans des quartiers défavorisés, de leur origine ou encore de leur niveau d’expérience.
Près de 200 exposants proposeront 3 000 offres d’emploi aux niveaux de qualification très différents.
Un espace sera dédié à des associations spécialisées dans l’accompagnement des jeunes diplômés (AFIP, AFIJ, MOZAIK RH, APC RECRUTEMENT) et à la HALDE (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité).
802 jeunes ont été recrutés sur ce forum en 2010, dont 23 % en CDI.
En 2010, la Ville de Paris a aidé près de 30 000 chômeurs parisiens à retrouver du travail par des actions soutenues, visant notamment à favoriser le recrutement direct des demandeurs d’emploi les plus touchés par le chômage en les rapprochant des entreprises cherchant à recruter :
Forum de la Diversité et du Premier Emploi
Jeudi 31 mars de 9h à 18h
Espace Condorcet de la Cité des Sciences et de l’Industrie : 30 avenue Corentin Cariou – Paris 19e
Entrée libre
Alors que l’Etat se désintéresse des quartiers populaires (un plan « Espoir Banlieue » inadapté aux enjeux, aucune mesure nouvelle annoncée, baisses drastiques des crédits dédiés aux associations : – 20% en 2011 à Paris après une diminution équivalente en 2010), la Ville de Paris se mobilise depuis 2001 pour ses 14 quartiers (1) Politique de la Ville et les 330 000 habitants (soit 15 % de la population parisienne) qui y vivent, en y consacrant notamment un budget de 266 millions d’euros par an.
Sans attendre l’Etat mais en sollicitant son accompagnement, la Ville de Paris a décidé, face à l’urgence sociale, d’amplifier ses actions dans ces quartiers avec des solutions audacieuses :
La politique de la Ville à Paris : 14 quartiers dans 8 arrondissements – 330 000 habitants (soit 15 % de la population parisienne) – près de 23% des personnes sous le seuil de bas revenus (942 euros par unité de consommation) contre 12% pour l’ensemble de Paris – 9% y sont allocataires du RSA contre 5% pour l’ensemble de Paris.
(1) Les 14 quartiers inscrits en Politique de la Ville à Paris sont : Grange aux Belles / Ste Marthe et le secteur des Portes St-Denis / St Martin (10e), Fontaine au Roi (11e), Quartiers sud (13e), Porte de Vanves (14e), Portes de Clichy, Pouchet et St Ouen (17e), Porte Montmartre / Porte de Clignancourt et Moskowa (18e), Amiraux Simplon (18e), Goutte d’Or (18e), La Chapelle (18e), Riquet / Michelet (19e), Danube Solidarité (19e), Belleville Amandiers (20e), St Blaise (20e), Porte de Montreuil / Python Duvernois / Fougères (20e).
La majorité municipale parisienne a fait le choix de reprendre en gestion publique le service de l’eau par la régie Eau de Paris. La régie est dont en charge aujourd’hui de la production, de la distribution et de la facturation. Cette maîtrise publique de l’ensemble du service permet de dégager chaque année environ 35 millions d’euros de gains. Il était donc normal d’en faire bénéficier les usagers parisiens puisque ce sont eux qui financent intégralement, à travers leur facture, le service de l’eau.
Après vingt-cinq années de flambée continue de la facture sous la délégation au secteur privé, période pendant laquelle le prix de l’eau avait augmenté de 260%, pour la première fois le prix de l’eau va baisser à Paris. Cette baisse de 8% sera effective à partir du 1er juillet prochain. Elle permettra de restituer aux usagers parisiens 76 millions d’euros sur la période 2011-2015.
Ce choix s’accompagne d’un très haut niveau d’investissement, d’une gestion renforcée du patrimoine, d’une politique de préservation de la ressource en eau et d’une qualité de service améliorée, mais également également d’un ensemble de mesures sociales ciblées pour les plus démunis.
Une aide préventive à l’eau adossée aux aides au logement a été mise en place afin de prévenir les problèmes de paiement de la facture. Cela constitue une première en France. Nous doublons aussi la contribution d’Eau de Paris (500 000 €) au Fonds Solidarité pour le Logement afin d’améliorer la prise en charge des impayés d’eau des ménages parisiens. Par ailleurs, sous réserve de l’existence d’une convention, les squats peuvent être alimentés en eau tant que la décision de justice n’a pas été prise. Parallèlement nous travaillons avec les bailleurs sociaux et des associations pour l’installation de kits d’économiseurs d’eau. Un premier partenariat s’est monté entre la régie Eau de Paris et Paris Habitat. Cette initiative présente des vertus à la fois économiques – gain de 100€ annuel sur le budget eau et énergie de chaque ménage – et écologiques – baisse moyenne de 15% des consommations d’eau.
Avec la baisse du prix de l’eau pour tous et ces mesures d’aide sociale à l’eau, le droit à l’eau à Paris ne relève pas du slogan mais de l’application concrète.
…. Jean-François Lamour, chef de file de l’UMP parisienne… dans une dépêche AFP du 24 mars 2001
La droite du 17e, visiblement, n’est pas d’accord, car elle souhaite que, pour le projet Clichy-Batignolles, les logements sociaux soient construits et concentrés le long de la voie ferrée à la place de bureaux qui se retrouveraient dans une tour de 150 mètres de haut avec les logements de luxe remplaçant les logements privés à loyer maîtrisé et en accession…
Cherchez l’erreur !!!